Chaque année pleurent des mamans
En ce jour de fête des mères
Puisque leurs enfants sont absents
Chaque année pleurent des mamans.
Que leur coeur soit laissé en plan
N’est-ce pas un sort trop sévère?
Chaque année pleurent des mamans
En ce jour de fête des Mères.
Il y a des larmes qui coulent
Sur les joues de tant de mamans.
Au cours des heures qui s’écoulent
Il y a des larmes qui coulent.
Sous l’émotion, elles croulent
Vu l’absence de leurs enfants.
Il y a des larmes qui coulent
Sur les joues de tant de mamans.
Il y a trop de mamans tristes
Sans visite de leurs enfants.
Cette seule pensée m’attriste
Il y a trop de mamans tristes.
Pourquoi faut-il qu’ils se désistent?
Il suffirait d’un peu de temps.
Il y a trop de mamans tristes
Sans visite de leurs enfants.
J’attends toujours le grand bonheur J’attends qu’il vienne me surprendre J’attends d’la vie que le meilleur J’attends toujours le grand bonheur Mais il est occupé ailleurs. J’attends tout l’temps, je n’fais qu’attendre. J’attends toujours le grand bonheur J’attends qu’il vienne me surprendre.
Souvent, j’attends pour rien du tout J’attends que l’espoir m’encourage! J’attends l’appel, un rendez-vous Souvent, j’attends pour rien du tout. Tantôt déçue, tantôt à bout J’entre dans une folle rage. Souvent, j’attends pour rien du tout J’attends que l’espoir m’encourage!
Parfois, j’ai attendu longtemps On a testé ma patience. Maintes fois, j’ai perdu mon temps Parfois, j’ai attendu longtemps. Si le temps coûtait de l’argent Je finirais dans l’indigence. Parfois, j’ai attendu longtemps On a testé ma patience.
J’attendrai encore et toujours Car la vie est faite d’attentes Les yeux dans l’vide et le coeur lourd J’attendrai encore et toujours. J’attendrai alors nuit et jour Je devrai être patiente. J’attendrai encore et toujours Car la vie est faite d’attentes.
MA POÉSIE À MOI 