Novembre m’invite amicalement à partager un grand pot d’air frais. Debout à ma fenêtre, l’oeil indifférent, je choisis de rester bien au chaud emmurée dans un laisser-aller continuel. Je ne retrouve plus l’enthousiasme d’hier alors que je sortais quotidiennement pour aller marcher. Plus je résiste, plus la paresse prend le dessus. Il m’arrive bien d’éprouver quelques remords, mais mille excuses et échappatoires viennent à bout de ma volonté.
Et si je changeais tout cela Un jour à la fois Un pas à la fois en commençant par aujourd’hui…