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Le mur
Je croyais que nous étions proches
Que nos coeurs battaient au même rythme
Que nous avions le même regard
La même vision, le même langage.
Je croyais que nous étions proches
Que nous respirions le même air
Que nous partagions les mêmes valeurs
Les mêmes sentiments, le même sang.
Mes poèmes étaient là, épars
Attendant le moment d’être lus
Et pourtant, ils ne suscitèrent
ni l’intérêt ni même la curiosité.
Je croyais que nous étions proches
Mais je frappai un mur d’indifférence.
nikellenica
22-02-22
Merci Ondalucana d’avoir aimé mon poème!
Amitiés
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bisous Nicole;
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Cocopaillette, Jaskiers, Marie et SaaniaSparkle
Merci d’avoir aimé
Bon week-end
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Dany, tous(tes) sont libres de venir ou pas, mais quand il s’agit de proches, je ne comprends pas! Merci à toi et bon week-end.
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Cher Georges, merci à nouveau pour ta fidélité. Bisous et bon week-end!
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Bonjour Juliette, contente que ma poésie se soit rendue jusqu’à toi. Merci de me lire! Gros bisous
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je suis moins sur les blogs mais je lis ce poème Nicole ; c’est trés réel;certaines personnes ne passe jamais mais aime qu on like chez eux; je ne les comprend pas; je suis dévastée c’est vrai mais je je fais ce petit mont pour te dire mon amitié
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Beau poème….parfois ceux que l’on croit nos bons amis(es) nous déçoivent et jolie citation. Bon week-end. Bisous
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Bonsoir NICKELLE
Ta poésie à franchi le mur , elle est arrivée jusqu’à moi
bises de juliette
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