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Le mur
Je croyais que nous étions proches
Que nos coeurs battaient au même rythme
Que nous avions le même regard
La même vision, le même langage.
Je croyais que nous étions proches
Que nous respirions le même air
Que nous partagions les mêmes valeurs
Les mêmes sentiments, le même sang.
Mes poèmes étaient là, épars
Attendant le moment d’être lus
Et pourtant, ils ne suscitèrent
ni l’intérêt ni même la curiosité.
Je croyais que nous étions proches
Mais je frappai un mur d’indifférence.
nikellenica
22-02-22